Colloque international "Le Corps du sensible. Lectures et écritures phénoménologiques du littéraire, XVIe-XVIIIe s.", 19-21/03/2025

Du 19 mars 2025 au 21 mars 2025

UCLouvain (Louvain-la-Neuve)

 


Programme

 

Salle Polyvalente du Learning Center Christine de Pizan

 

Mercredi 19 mars


10h : accueil

10h15 : Introduction par Maxime Cartron (FNRS-UCLouvain, GEMCA), Ralph Dekoninck (UCLouvain, GEMCA) et Agnès Guiderdoni (UCLouvain, GEMCA)

10h30-11h30 : Conférence d’ouverture
Président de séance : Maxime Cartron (FNRS-UCLouvain, GEMCA)

Michèle Rosellini (ENS de Lyon), « Poétique de l'impression et théorie du point de vue au XVIIe siècle : une phénoménologie intuitive ? »

Pause

Première session
Président de séance : Bernard Teyssandier (Université de Reims)

11h45-12h30 : Rebecca Legrand (Université de Lille), « Le voyageur sensible : usages, fonctions et enjeux des perceptions sensorielles dans les récits de voyage de la Renaissance »

12h30-13h15 : Madeleine Savart (Université de Montréal/Université de Saint-Étienne, IHRIM), « “Or, c’est icy que j’ay veu des Sauvages pour la première fois”. L’initiation de différentes formes d’intersubjectivité dans les relations de voyage de la Nouvelle-France ».

Déjeuner

Deuxième session
Président de séance : Aurélien Chukurian (FNRS-UCLouvain)

14h30-15h15 : Delphine Amstutz (Sorbonne Université) et Bernard Teyssandier (Université de Reims), « Jean Héroard et Rodolphe Le Maistre phénoménologues ? Corps royal et corps médical dans la France du XVIIe siècle »

15h15-16h : Cyril Francès (Université Jean Moulin-Lyon 3, MARGE), « Les Mémoires de la baronne d’Oberkirch : une phénoménologie du frivole »

16h-16h45 : Adnen Jdey (FNRS-UCLouvain), « Maldiney lecteur des Salons de Diderot »

Jeudi 20 mars
Troisième session
Président de séance : Jean-Vincent Blanchard (Swarthmore College)

9h30-10h15 : Aurélien Chukurian (FNRS-UCLouvain), « Corps et salut : une approche phénoménologique de la pensée pascalienne »

10h15-11h : Sébastien Blanc (Académie de Lyon), « Merleau-Ponty, lecteur de Montaigne »

11h-11h45 : Sylvain Josset (Sorbonne Université), « Âme, corps et “vie facticielle” : Heidegger et Pascal »

Déjeuner

Quatrième session
Président de séance : Ralph Dekoninck (UCLouvain, GEMCA)

14h-14h45 : Caroline Heering (UCLouvain, GEMCA), « Phénoménologie des apparences dans les fêtes éphémères »

14h45-15h15 : Étienne Morasse-Choquette (UQAM), « Réunir les sens dans l’expérience esthétique d’un jardin : une lecture phénoménologique d’un problème clé de l’histoire intellectuelle du paysage au XVIIIe siècle » (en visioconférence)

Pause

Cinquième session
Présidente de séance : Caroline Heering (UCLouvain, GEMCA)

15h30-16h15 : Jean-Vincent Blanchard (Swarthmore College), « La description de la Fête de Versailles de 1668 au prisme de la phénoménologie politique »

16h15-17h : Jérémie Ferrer-Bartomeu (FNRS-UCLouvain), « L’événement de l’État. La manifestation d’une évidence politique par les élites administratives dans l’Europe de la première modernité »

Vendredi 21 mars

Sixième session
Présidente de séance : Agnès Guiderdoni (UCLouvain, GEMCA)

9h30-10h15 : Alessandro Vetuli (Università di Roma LUMSA), « La fleur qui transfigure. Alard le Roy et la méditation du sensible »

10h15-11h : Clément Duyck (Université Paris Est-Créteil), « Phénoménologie d’un corps souffrant : les démons de Jean-Joseph Surin »

Pause

Septième session
Présidente de séance : Delphine Amstutz (Sorbonne Université)

11h15-12h : Olivier Leplatre (Université Jean Moulin-Lyon 3, IHRIM), « Cyrano, une phénoménologie par les bords »

12h-12h45 : Moussa Traoré (Université Cheikh Anta Diop), « Expériences romanesques du désir, du plaisir et de la douleur : une phénoménologie du corps sensible dans Jacques le Fataliste de Diderot »

Déjeuner

Huitième session
Président de séance : Olivier Leplatre (Université Jean Moulin-Lyon 3, IHRIM)

14h-14h45 : Nicolas Laurent (ENS de Lyon), « Phénoménologie du présentatif. À propos de Marivaux »

15h-15h45 : Rodolphe Olcèse (Université de Saint-Étienne), « Le retour aux choses mêmes : portée phénoménologique de l’éducation dans l’Émile de Rousseau »

Conclusions